OBJECTIFS
OBJECTIFS
À l’issue de la formation, le(la) participant·e sera capable :
✅ D’identifier les attributions et les moyens du CSE ou de la CSSCT en matière de Santé & Sécurité ;
✅ S’approprier son mandat pour faire du CSE ou de la CSSCT des instances efficaces ;
✅ Contribuer à une politique globale de Santé & Sécurité au Travail et de prévention des risques dans l’entreprise.
ANIMATION
PUBLIC
➲ Salarié·e·s membres titulaires et remplaçant·e·s d’un CSE d’entreprise (300 salarié·e·s et +).
➲ Salarié·e·s membres d’un CSSCT (300 salarié·e·s et +).
PRÉREQUIS
EFFECTIF
DURÉE
➲ 5 jours minimum (consécutifs ou fractionnés en 2 sessions de 3 jours + 2 jours) soit 35 heures minimum (théorie / pratique / mises en situation).
Pour une durée supérieure ou une planification différente : nous consulter.
LOCALISATION
PÉDAGOGIE
Pratique
Visite de site
ÉVALUATION
DATE(S)
✅ ♿ PARIS 20e : du 31 mai au 4 juin 2021.
✅ ♿ ÉVRY : du 27 septembre au 1er octobre 2021.
✅ ♿ LES ULIS : du 3 au 7 mai 2021.
Pour d’autres dates : nous contacter.
TARIFS
PLAN - PRICE
Description
INTRA
SESSION : SUR DEVIS
PARIS 20e
INTER : SUR DEVIS
INTRA : SUR DEVIS
INDIVIDUEL : à partir de 1819€
EVRY - 91
SESSION : SUR DEVIS
INDIVIDUEL : à partir de 1819€
LES ULIS - 91
SESSION : SUR DEVIS
INDIVIDUEL : à partir de 1819€
INTERACTIVE LEARNING
SUR DEVIS
RÉSULTATS
Cette formation réglementaire est prévue par l’article L2315-18 du Code du Travail et prise en charge financièrement par l’employeur.
Pour que la CSSCT devienne obligatoire, il faut que l’entreprise se trouve dans l’une des trois situations décrites ci-dessous :
✅ Lorsque l’entreprise atteint le seuil des 300 salarié·e·s ou lorsque l’un de ses établissements atteint le palier des 300 salarié·e·s ;
✅ Quel que soit son effectif, toute entreprise, classée Seveso ou possédant des installations nucléaires de base ou exploitant certains gisements miniers, doit mettre en place une CSSCT ;
✅ Sur décision expresse de l’inspection du travail, même lorsque l’effectif de l’entreprise est inférieur à 300 salarié·e·s.
Dans le champ de la santé, de la sécurité et des conditions de travail, le CSE :
1° Procède à l’analyse des risques professionnels auxquels peuvent être exposés les travailleur·euse·s (salarié·e, stagiaire…), notamment les femmes enceintes, ainsi que des effets de l’exposition aux facteurs de risques professionnels mentionnés à l’article L. 4161-1 du code du travail ;
2° Contribue notamment à faciliter l’accès des femmes à tous les emplois, à la résolution des problèmes liés à la maternité, l’adaptation et à l’aménagement des postes de travail afin de faciliter l’accès et le maintien des personnes handicapées à tous les emplois au cours de leur vie professionnelle ;
3° Peut susciter toute initiative qu’il estime utile et proposer notamment des actions de prévention du harcèlement moral, du harcèlement sexuel et des agissements sexistes (tout agissement lié au sexe d’une personne, ayant pour objet ou pour effet de porter atteinte à sa dignité ou de créer un environnement intimidant, hostile, dégradant, humiliant ou offensant). Le refus de l’employeur·euse est motivé.
Sa mise en place est obligatoire pour les entreprises de 300 salarié·e·s et + et assure, par délégation du Comité Social et Économique (CSE), les fonctions relatives à la Santé & Sécurité et à la prévention des risques d’accidents sur le lieu de travail.
Dès qu’une entreprise remplit l’une des conditions ci-dessus, elle ne peut se soustraire à la création de la commission. À l’exception de la décision émanant de l’inspection du travail.
Dans ce dernier cas, l’entreprise pourra contester la décision auprès de sa DREETS (anciennement DIRECCTE).